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Notícies :: globalització neoliberal |
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Paraphysique du fait divers
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per Patrice Faubert |
23 oct 2014
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Vols, crimes, délits, comme la propriété, nourrissent le capital... |
Tous les faits divers
Sont révélateurs de la société
Qu'ils soient ordinaires ou extraordinaires
Ils permettent de la jauger
Finalement
Il faut de la délinquance
Et ce à très grande fréquence
Pour faire exister la police
La société spectaculaire marchande techno-industrielle est un vice
Il faut des voleurs
Il faut des assassins, des violeurs, des escrocs, des cambrioleurs
Que la justice devrait remercier
Sinon, juges, avocats, huissiers, policiers
Et tant d'autres, devraient chômer
Ainsi
La recherche de dominance doit être provoquée
Il faut organiser l'insécurité
C'est seulement ainsi que le système peut fonctionner
Comme en 2006, l'affaire Ilan Halimi
Jeune juif de 23 ans, victime de la barbarie
Enlevé, tondu, torturé, tué
Par ( né en 1980 ) Youssouf Fofana et 26 complicités
Tout y est sordide, tout y est tragique
Bien plus qu'antisémite ou idéologique
Barbarie de la misère
Misère de la barbarie
Quand l'inculture rend l'individu bête et taré
De la vie terrifiante et désespérée
De certaines de nos cités
Et une demande de rançon
Que la police déconseilla d'honorer
Par manque de cogitation
Et en France, c'est la tradition
Indirectement, la France complice d'un assassinat
Avec l'aval de tous les médias
Certes ce Fofana pourrait plaire
A tous les nazis, à tous les réactionnaires
De son cerveau, ravagé par la souffrance, par la misère
Voilà ce qui fabrique le fait divers
C'est ce qui nourrit la police
La délinquance est sa complice
Toutes les inégalités en sont la miss !
Mais c'est de l'amateurisme
Pour des demandes de rançon
Comme les kidnappeurs tortionnaires d'érythréens, le pire, ils font
Avec les méthodes du nazisme
Des tortures par téléphone, en direct
La famille veut payer, tellement cela la débecte
Des cris déchirants, des corps martyrisés
40.000 dollars, pour les tortures, arrêter !
Mais ils n'arrêtent jamais, les trafiquants
Car comme le gang Fofana, ils sont incohérents
Les traducteurs deviennent des kapos
Et déchoient pour sauver leurs peaux
Tout ceci se passe au Sinaï, ce désert
Le sadisme revient toujours dans ce genre de guerre
L'armée égyptienne s'en fiche bien
Il ne faut pas contrarier le bédouin
Et depuis 2009, 50.000 personnes sont mortes sous la torture
Dans le Sinaï, cachées dans des maisons un peu à l'écart
Pour 12000 seulement, il est terminé, le cauchemar !
Sharing Economy
C'est l'économie collaborative
Que toujours le capital drive
Paupérisation collaborative
Aux diktats de l'injustice évolutive
Comme en Corée du Sud
Au taux de suicide le plus élevé
Des moins de 25 ans, dans le monde entier
Des ponts, comme le ( 100 ) pont de Mapo, pour se jeter
Et autres ponts de la mort
Avec des slogans bienveillants, pour conjurer le sort
C'est la pression de réussite sociale
Qui à l'humanité est inhumainement fatale !
Où tout peut s'acheter, peut se louer
Comme en Inde, les mères porteuses
2000 à 4000 euros pour le ventre des pondeuses
Et des centaines de millions d'euros en chiffre d'affaires
Pour les cliniques et autres intermédiaires
Il faut, les consciences, les faire taire
Dans ce pays où 1 femme est violée toutes les 20 minutes
La misère sexuelle est en rut
Economie du partage
Partage de l'Economie
Où la gratuité est une fumisterie !
Comme la voyance, les horoscopes
Une escroquerie bien rodée, au top
Il s'agit d'un profil générique
C'est un arbre psychologique
Tout le monde peut s'y reconnaître
Dans cette herbe tout le monde peut paître
Le charlatan, à tous les coups, ne peut que gagner
Ainsi des gens, se moquer !
Pas comme au loto
Une probabilité sur 116 millions
De gagner le gros lot
La probabilité de ne pas le gagner, étant aussi, de 116 millions
De plus, il faut jouer les numéros de 31 à 50, c'est une astuce
Ce sont les moins utilisés, c'est toujours un plus
Et cela, c'est pas du faux
Et pour gagner, il faut jouer
Et donc beaucoup dépenser
Ce que d'un gain, il faudra enlever !
Dans le capital
C'est toujours la même vie
La sempiternelle gabegie
Pauvres ou riches, les mêmes litanies
Et l'automobile, en France, comme ailleurs, c'est du temps
Et 55 heures d'embouteillages, pour un parisien, par an
Et 37 heures d'embouteillages, pour un provincial, par an
Et au Pakistan, trafic de fausses momies
Comme à Karachi, 26 millions de gens, avec la périphérie
Et faux tableaux, fausses momies
Et donc, dans les musées du monde, aussi !
Le trafic dure depuis 1500 ans
Rien de nouveau, vraiment
Déjà, il y a 2000 à 3000 ans
Dans les tourbières de l'Irlande
Des momies, c'était la sarabande
Par la tourbe, certaines très bien conservées
Des personnes qui furent étranglées, maltraitées, tuées
Ou, pour de mauvaises récoltes, des rois sacrifiés
Mais en archéologie tout peut s'interpréter
Symbolique des rituels sacrificiels
Cela serait la terreur des affairistes politiques actuels !
Le chômage augmente ? un ministre sacrifié
Le coût de la vie enfle ? un ministre sacrifié
Les récoltes sont mauvaises ? un ministre sacrifié
Les pauvres sont encore plus pauvres ? le président sacrifié
Les élections sont les nouveaux rituels
Mais le symbole, lui, est bien réel !
Comme entre feu ( 1430/31-1476 ) Vlad III Basarab, dit l'empaleur
Et Dracula, de sang, ce buveur
Vlad, c'était en 1456 , en Valachie
Qui faisait empaler avec des pointes arrondies
Pour que dure longtemps l'agonie
Par la bouche, le nombril, le fondement
Au moins 10.000 victimes sur les hauteurs
Sur de hautes collines
Ce tyran avait la cruauté maligne
Et le mot vampire fut employé
A partir de 1732, par les français et les anglais
Avant feu ( 1847-1912 ) Bram Stoker, ce cliché
Ce ( 1897 ) Dracula, ou le capital symbolisé
Mais en Assyrie ou en Hongrie, bien avant, déjà, on empalait !
De la guerre au sport
Du sport à la guerre
Le grand match, comme le titrait l'ancien journal, " L'Auto "
Avec les poilus musclés et moustachus, c'était le beau
Il n'y eut jamais autant de sport qu'en 1914/1918, la forme du soldat
Pour conserver le moral dans les tranchées, dans le caca
Football, rugby, boxe, athlétisme, surtout des paysans et des ouvriers
Les principaux dans l'armée, le sport encouragé par les officiers
Et aussi du sport militaire
Sportifs d'élite, donc, soldats d'élite, de la hiérarchie militaire
Le lancer de grenade, record à 64 mètres
Et aussi, 45 grenades en 60 secondes, horrible paramètre
Les sportifs célèbres dans l'effort de guerre
Et 425 d'entre eux, offrirent leurs vies, à la patrie mère
Comme feu ( 1888-1914 ) Jean Bouin
Ou feu ( 1888-1918 ) Roland Garros
Pour les militaires manipulateurs, cela faisait bien !
Le champ de bataille comme stade
Puis le stade comme champ de bataille
14/18 comme socle du sport de masse
Et même le sport féminin, qui ainsi, se trace
Sans compter tous les anarchistes des tranchées
Par l'esprit cocardier, faussement impérialiste, ils furent trompés
Et aussi tous les socialistes, communistes, syndicalistes
Qui déjà, collaborèrent, avec le capitalisme !
Comme aujourd'hui le crime organisé
Le crime organisé du capitalisme
Qui avec la banque sait si bien copuler
Dans les banques circulent toutes les transactions
Et, de ce fait, c'est horrible, de près ou de loin, toutes les opinions
L'argent de tous les trafics
Légaux ou illégaux, c'est la loi, la loi économique
HSBC, Citybank, et autres banques
Le système de la banque
La banque du système
Pour l'argent de la drogue ou autre, la belle planque
Comme la fraude fiscale
Via les banques en Suisse, des fortunes françaises du fascisme libéral
30 milliards d'euros détournés, le capital danse
C'est le coût du pacte social en France
Que les pauvres, surtout, doivent payer !
Le capital, c'est aussi :
Comme le choléra de 1832
D'où l'expression " Avoir une peur bleue "
Surpopulation de densité
A Paris, très grande pauvreté
Les temps ont certes changés
La maladie des eaux infectées
Et la canicule de certains étés
Un voyage du delta du Gange
De l'Inde, pas toujours ange
1832, 100.000 morts et mortes en France
Le capital et sa romance
Et des saignées, frictions et vésicatoires, pour soigner
Le bacille virgule dut bien rigoler
De ces traitements dérisoires contre les diarrhées
La maladie et la faim
Par le capitalisme sont craints
Car cela peut créer des soulèvements populaires
Mais cela était vrai, hélas, surtout, hier !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Todos los sucesos
Son reveladores de la sociedad
Que sean ordinarios o extraordinarios
Permiten medirla
Finalmente
Es necesario la delincuencia
Y esto a enorme frecuencia
Para hacer existir la policía
La sociedad espectacular comercial tecnoindustrial es un defecto
Es necesario ladrones
Es necesario asesinos, a violadores, a estafadores, ladrones
Que la justicia debería agradecer
Si no, jueces, abogados, ujieres, policías
Y tanto de otros, deberían estar en paro
Así
La búsqueda de predominio debe causarse
Es necesario organizar la inseguridad
Es solamente así como el sistema puede funcionar
Como en 2006, el asunto Ilan Halimi
Joven judío de 23 años, víctima de la crueldad
Retirado, segado, torturado, matado
Por (nacido en 1980) Youssouf Fofana y 26 complicidades
Es sórdido, es trágico
Bien más que antisemita o ideológico
Crueldad de la miseria
Miseria de la crueldad
Cuando la incultura vuelve al individuo estúpido y destarado
De la vida que terrifica y desesperada
De algunas de nuestras ciudades
Y una solicitud de rescate
Que la policía desaconsejó honrar
Por falta de cogitación
Y en Francia, es la tradición
Indirectamente, la Francia cómplice de un asesinato
Con el abajo de todos los medios de comunicación
Ciertamente este Fofana podría agradar
A todos los nazis, a todos los reaccionarios
Por su cerebro, devastado por el sufrimiento, por la miseria
Aquí lo que fabrica el suceso
Es lo que alimenta la policía
La delincuencia es su cómplice
¡Todas las desigualdades son la senorita!
Pero es afición
Para solicitudes de rescate
Como los secuestradores de tortura de eritreos, los peores, hacen
Con los métodos del nazismo
Torturas por teléfono, en directo
La familia quiere pagar, tanto eso el débecte
Gritos desgarradores, cuerpos martirizados
¡40.000 dólares, para las torturas, detener!
Pero detienen nunca, los traficantes
Ya que como la banda de malhechores Fofana, son incoherentes
Los traductores se convierten en kapos
Y decaen para salvar sus pieles
Todo esto pasa a Sinaí, este desierto
El sadismo vuelve de nuevo siempre en esta clase de guerra
El ejército egipcio se fija bien
No es necesario oponer al beduino
Y desde 2009, 50.000 personas se murieron bajo la tortura
En Sinaí, ocultadas en casas un poco a la divergencia
¡Para 12000 solamente, se termina, la pesadilla!
Sharing Economy
Es la economía cooperativa
Que siempre el capital drive
Empobrecimiento cooperativo
A las imposiciones de la injusticia evolutiva
Como en Corea del Sur
Al tipo de suicidio más elevado
Menos de 25 años, en todo el mundo
Puentes, como el (100) puente de Mapo, para lanzarse
Y otros puentes de la muerte
Con lemas benévolos, para conjurar la suerte
Es la presión de éxito social
¡Quién a la humanidad es inhumanamente inevitable!
Dónde comprárselo todo puede, puede alquilarse
Como en la India, las madres de alquiler
2000 a 4000 euros para el vientre de las capas
Y cientos de millones de euros en volumen de negocios
Para las clínicas y otros intermediarios
Es necesario, las conciencias, hacerlos callar
En este país donde se viola a 1 mujer cada 20 minutos
La miseria sexual es en celo
Economía de la división
División de la Economía
¡Dónde la gratuidad es un camelo!
Como la videncia, los horóscopos
Una estafa bien rodada, a la señal
Se trata de un perfil genérico
Es un árbol psicológico
Todo el mundo puede reconocerse
En esta hierba todo el mundo puede alimentar
El charlatán, a todos los golpes, no puede sino ganar
¡Así gente, burlarse!
No como a la lotería
Una probabilidad sobre 116 millones
Ganar el primer premio
La probabilidad de no ganarlo, siendo también, de 116 millones
Además, es necesario jugar los números 31 a 50, es una astucia
_esto ser menos utilizar, esto ser todavía uno más
Y eso, no es de la guadaña
Y para ganar, es necesario jugar
Y en consecuencia gastar mucho
¡Lo que de una ganancia, será necesario retirar!
En el capital
Es la misma vida todavía
El sempiterno engaño
Pobres o ricos, las mismas letanías
Y el automóvil, en Francia, como a otra parte, es tiempo
Y 55 horas de embotellamientos, para un parisiense, al año
Y 37 horas de embotellamientos, para un provincial, al año
Y a Pakistán, tráfico falsas momias
Como en Karachi, 26 millones de gente, con la periferia
Y falsos cuadros, falsas momias
¡Y en consecuencia, en los museos del mundo, por eso!
El tráfico dura desde 1500 años
Nada de nuevo, de verdad
Ya, hace 2000 a 3000 años
En las turberas de Irlanda
Momias, era la zarabanda
Por la turba, algunas muy bien conservadas
Personas que se estranguló, maltratadas, matadas
O, para malas cosechas, de los reyes sacrificados
Pero en arqueología interpretárselo todo puede
Simbólico de los rituales sacrificatorios
¡Eso sería el terror de los especuladores políticos actuales!
¿El desempleo aumenta? Ministro sacrificado
¿El coste de la vida hincha? Ministro sacrificado
¿Las cosechas son malas? Ministro sacrificado
¿Los pobres son aún más pobres? el Presidente sacrificado
Las elecciones son los nuevos rituales
¡Pero el símbolo, le es bien real!
Como entre fuego (1430/31-1476) Vlad III Basarab, dicho el empaleur
Y Dracula, de sangre, este bebedor
Vlad, era en 1456, en Valachie
Quién hacía empaler con puntas redondeadas
Para que dura mucho tiempo la agonía
Por la boca, el ombligo, el fundamento
Al menos 10.000 víctimas sobre las alturas
Sobre altas colinas
Este tirano tenía la crueldad astuta
Y se empleó la palabra vampiro
A partir de 1732, por los franceses y los ingleses
Antes del fuego (1847-1912) Bram Stoker, este tópico
Este (1897) Dracula, o el capital simbolizado
¡Pero en Asiria o Hungría, mucho antes, ya, empalait!
De la guerra al deporte
Del deporte a la guerra
El gran partido, como lo titulaba el antiguo Diario, “el Coche”
Con los melenudos desarrollados los músculos de y con bigote, era la belleza
No hubo nunca tanto deporte que en 1914 /1918, la forma del soldado
Para conservar el moral en las trincheras, en la caca
Fútbol, rugby, boxeo, atletismo, sobre todo de los campesinos y los obreros
El principales en el ejército, el deporte animado por los funcionarios
Y también del deporte militar
Deportistas de élite, por lo tanto, soldados de élite, de la jerarquía militar
Lanzarlo de granada, marca a 64 metros
Y también, 45 granadas en 60 segundos, horrible parámetro
Los deportistas famosos en el esfuerzo de guerra
Y 425 de ellos, ofrecieron sus vidas, a la patria madre
Como fuego (1888-1914) Jean Bouin
O fuego (1888-1918) Roland Garros
¡Para los militares manipuladores, eso hacía bien!
El campo de batalla como fase
Luego la fase como campo de batalla
14/18 como zócalo del deporte de masa
E incluso el deporte femenino, que así, se traza
Sin contar a todos los anarquistas de las trincheras
Por el espíritu chauvinista, falsamente imperialista, se les equivocó
Y también todos los socialistas, comunistas, sindicalistas
¡Quiénes ya, colaboraron, con el capitalismo!
Como hoy la delincuencia organizada
La delincuencia organizada del capitalismo
Quién con el banco sabe así copular bien
En los bancos circulan todas las transacciones
Y, por lo tanto, es horrible, aproximadamente, todas las opiniones
El dinero de todos los tráficos
Legales o ilegales, es la ley, la ley económica
HSBC, Citybank, y otros bancos
El sistema de banco
El banco del sistema
Para el dinero de la droga u otro, el bonito escondrijo
Como el fraude fiscal
Mediante los bancos en Suiza, de las fortunas francesas del fascismo liberal
30 mil millones de euros desviados, el capital bailan
Es el coste del pacto social en Francia
¡Que los pobres, sobre todo, deben pagar!
El capital, es también:
Como el cólera de 1832
De ahí la expresión “tener un miedo azul”
Superpoblación de densidad
París, enorme pobreza
El tiempo en absoluto cambió
La enfermedad de las aguas infectada
Y la canícula de algunos veranos
Un viaje del delta del Ganges
De la India, no siempre ángel
1832,100.000 muertes y muertas en Francia
El capital y su romanza
Y de las sangrías, fricciones y vejigatorias, para ocupar
El bacilo coma dut reír bien
De estos tratamientos ridículos contra las diarreas
La enfermedad y el hambre
Por el capitalismo se temen
Ya que eso puede crear levantamientos populares
¡Pero eso era verdadero, desgraciada, sobre todo, ayer!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr” |
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