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Notícies :: globalització neoliberal |
Stéréotypie paraphysique
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per Patrice Faubert |
09 jun 2014
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Propriété du monde, monde de la propriété... |
Sans les lombrics
Sur cent mètres sur cent mètres, pas de panique
Quatre millions de lombrics
Deux à cinq tonnes, c'est magique
Ils travaillent la terre
Sans eux, aucune vie sur la planète Terre
Le ver des Vosges, soixante centimètres
Le ver du Pays basque, un mètre
Le ver d'Australie, trois mètres
Pas de vrai cerveau
Le lombric respire par la peau
Encore une fois, sans lui
Pas de passé, pas de futur, tout serait fini
Il n'a pourtant aucun chef
La terre pour seul fief
Il nous renvoie nos idiotes prétentions
Il est l'anarchie sans aucune discussion !
Et même le tout électricité
Qui a tout révolutionné
Et qui partout a tout éclairé
Avec le ver ne peut rivaliser
Et cependant tous les feu ( 1778-1829 ) Humphry Davy
Les Volta, des inconnus, les Galvani
La mémoire eidétique de feu ( 1856-1943 ) Nikola Tesla
Le génie du courant alternatif contre courant continu, un combat
La guerre du courant électrique
Comme la guerre des courants politiques
Isolants et conducteurs
Du transistor de 1947, au supraconducteur de 1986
Tant de fameux électriciens oubliés
Comme Tesla, qui mourut fou, avec son polyphasé
La technologie ne peut jamais s'arrêter
Les découvertes ne peuvent que s'engendrer
Et forcément, elles finissent par nous échapper !
Comme la violence qui s'éparpille
De tous ses éclats, elle brille
Et en 2013, en France, 121 femmes, 25 hommes
Sous les coups, définitivement dans les pommes
La violence conjugale, tout le monde, assomme !
Et 40 pour cent des hommes
Sont battus, c'est le premier tome
Par leurs épouses, en Angleterre
La foudre émotionnelle et ses colères
Pas domptée comme la foudre naturelle
A l'origine de nos lumières si belles !
C'est pas comme le bagne
Qui était infâme et insane
Jamais vraiment fermé
Puisque de l'argent, nous sommes les transportés, les relégués
Nous vivons dedans, c'est notre société
Et personne ne peut s'en évader !
La technologie est un bolide devenu fou
Comme la biologie de synthèse, elle ne s'arrête plus
La transformation radicale du vivant
Et son nouvel environnement
Alibi du progrès, progrès de l'alibi
Certes, plus humain, notre bagne quotidien s'est amélioré
Programmation de l'industrialisation
Industrialisation de la programmation
Discours logique de la bonne raison
Et sur Terre, toujours aucune civilisation
Qui soit digne de ce nom !
ATCG ( adénosine, thymine, cytosine, guanine ) l'alphabet naturel du vivant
Et puis... l'alphabet artificiel
Comme les 5 multinationales
Aux milliers de graines recensées
Et qui en veulent la propriété
Les semences en pleine démence
Les champs industriels
Contre les champs naturels
Monsento, Syngenta, et autres pestilences
Pour la rareté et la fausse abondance
La nature savait se doser
Mais l'être humain a tout chamboulé
Et c'est encore nos amis les rats
Excellents éboueurs qui comme à Paris
800 tonnes de déchets par jour, et voilà
Et partout dans le monde, ici ou là !
De nos jours, 9 animaux sur 10
Industriellement sont élevés
Avec l'automation, l'homme seul, peut traiter
80 vaches en une heure
De 3000 cochons s'occuper
De 20.000 poulets s'affairer
Tout peut ainsi s'industrialiser
Et 2,1 milliards de gens en surpoids ou en obésité !
Et dans le même temps
Pour le vol de 130 euros de diverses denrées
Dans un quelconque supermarché
Une mère de neuf enfants
En France, en prison, pour 2 mois est envoyée !
L'automation
Que voulait les situationnistes
Est le contraire de l'automation
Qu'instrumentalise le capitalisme
Qui devient non pas du loisir
Qui ne devient pas du plaisir
Mais du chômage, de l'inégalité, de la souffrance
De la misère, du ressentiment, de l'intolérance
Où chacun n'a pour chacun
Où chacune n'a pour chacune
Que du mépris, et surtout de l'indifférence
Il faut sauver sa peau, partout c'est l'impuissance
De plus en plus de gangsters, de crapules
Et qui en politique font des émules
Et tant de gens pour les remplacer
Alors que sans hésiter, il faudrait les fusiller !
Tout est ravagé par les corruptions
Tous milieux, tous domaines, c'est une généralisation
A force de tolérer l'intolérable
Les pires ignominies sont devenues tolérables !
Comme le sport hypnose, et les nouveaux jeux du cirque
Football et autres pompes à fric
Comme le chasseur, le plus souvent fasciste
Et qui sur la nature forme un kyste
Tout est un vaste supermarché
De sexe, de sport, de politique, de l'art
L'argent peut tout y acheter
Faire de la politique, de l'art, du cinéma, de la télé
Où c'est la conscience qui se fait rare !
Tout ceci est de l'éthologie animale et donc humaine
L'éthologie de feu ( 1772-1844 ) Geoffroy Saint-Hilaire
Qui dès 1790, de cette acception, fit sienne
Mais en vérité, c'était dans l'air
Et des machines de plus en plus sophistiquées
Qui ne font, des animaux et humains, que les imiter !
Et nous allons chercher bien loin
Ce qui se trouve à côté de chez nous
De l'autre qui nous convient
A la nature disparue mais qui s'invite partout !
La nature, oui, mais sous verre
La nature, oui, hors-sol, au musée, en serre
La nature fait peur, quelle horreur !
Nous ne savons pas vivre
Même pas dans nos livres
Tout est devenu une propriété privée
Des plans d'eau, mais interdit de se baigner
Des prés, mais interdit de s'y vautrer
Et la gendarmerie en cas de nudité
Les pêcheurs en toute complicité
Et il faut toujours se cacher
La nature est une propriété privée
Comme en France et ailleurs, vacances formatées
Où tout doit se spécialiser
Ici pour se baigner
Là pour se promener
Ici pour se dénuder
Là pour se reposer
Ce sont les divers ghettos de l'économie de marché
Et ses propriétaires qui font les lois
Des villes et campagnes sont les rois
Plus rien de sauvage, tout est canalisé
Le monde est une propriété privée
Interdit d'y vivre, chasse gardée !
Patrice Faubert ( 2006 et 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Sin las lombrices
Sobre ciento metros sobre ciento metros, no hay pánico
Cuatro millones de lombrices
Dos a cinco toneladas, es mágico
Trabajan la tierra
Sin ellos, ninguna vida sobre el planeta Tierra
El gusano de los Vosgos, sesenta centímetros
El gusano del País Vasco, un metro
El gusano de Australia, tres metros
Pas de verdadero cerebro
La lombriz respira por la piel
Una vez más, sin él
Pas de pasado, no futuro se terminaría todo
No tiene con todo ningún jefe
La tierra para solo feudo
Nos devuelve nuestras idiotas pretensiones
¡Es la anarquía sin ningún debate!
E incluso todo ello electricidad
Quién tiene muy revolucionado
Y que por todas partes tiene muy encendido
Con el gusano no puede competir
Y sin embargo todo el fuego (1778-1829) Humphry Davy
El Volta, de los desconocidos, el Galvani
La memoria eidética de fuego (1856-1943) Nikola Tesla
La ingeniería de la corriente alterna contra corriente continua, un combate
La guerra de la corriente eléctrica
Como la guerra de las corrientes políticas
Aislantes y conductores
Del transistor de 1947, al superconductor de 1986
Tanto famosos electricistas olvidados
Comme Tesla, que se murió loco, con su polifásico
La tecnología puede nunca detenerse
Los descubrimientos no pueden sino generarse
¡E inevitablemente, terminan por nosotros escaparse!
Como la violencia que se dispersa
Por todos sus resplandores, brilla
Y en 2013, en Francia, 121 mujeres, 25 hombres
Bajo los golpes, definitivamente en las manzanas
¡La violencia marital, todo el mundo, pega!
Y 40 para - cientos de los hombres
Se pegan, es el primer volumen
Por sus esposas, en Inglaterra
El rayo emocional y sus cóleras
No superada como el rayo natural
¡Al origen de nuestras luces tan bonitas!
No es como el presidio
Quién era infame e insane
Nunca de verdad cerrado
Puesto que el dinero, se transportan el, el relegados
Vivimos dentro, es nuestra sociedad
¡Y nadie puede evadirse!
La tecnología es un bólido que se ha convertido en loco
Como la biología de síntesis, no se detiene ya
La transformación radical del vivo
Y su nuevo medio ambiente
Coartada del progreso, progreso de la coartada
Ciertamente, más humano, nuestro presidio diario se mejoró
Programación de la industrialización
Industrialización de la programación
Discurso lógico de la buena razón
Y sobre Tierra, siempre ninguna civilización
¡Quién sea digno de este nombre!
ATCG (adenosina, thymine, citosina, guanina) el alfabeto natural del vivo
Y luego… el alfabeto artificial
Como las 5 multinacionales
A los millares de semillas contabilizadas
Y que quieren la propiedad
Las semillas en plena demencia
Los campos industriales
Contra los campos naturales
Monsento, Syngenta, y otras pestilencias
Para la escasez y lo falsea abundancia
La naturaleza sabía proporcionarse
Pero el ser humano tiene muy puesto patas arriba
Y es aún nuestros amigos las ratas
Excelentes barrenderos quienes como en París
800 toneladas de residuos al día, y aquí
¡Y por todas partes en el mundo, aquí o allí!
Hoy día, 9 de cada 10 animales
Industrialmente son elevados
Con la automatización, el solo hombre, puede tratar
80 vacas en una hora
De 3000 cerdos ocuparse
De 20.000 pollos atenderse
Industrializárselo todo puede así
¡Y 2,1 mil millones de gente en exceso de peso o en obesidad!
Y al mismo tiempo
Para el vuelo de 130 euros de distintos productos
En cualquier supermercado
Una madre de nueve niños
¡En Francia, en prisión, por 2 meses se envía!
La automatización
Que quería los situationnistes
Es el contrario de la automatización
Que instrumentalice el capitalismo
Quién se convierte en no ocio
Quién no ocurre con del placer
Pero del desempleo, desigualdad, el sufrimiento
Miseria, resentimiento, intolerancia
Dónde cada uno no tiene por cada uno
Dónde cada una no tiene por cada una
Que del menosprecio, y sobre todo de la indiferencia
Es necesario salvar su piel, por todas partes es la impotencia
Cada vez más gángsteres, de bandidos
Y que en política hacen emulada
Y tanto gente para sustituirlos
¡Mientras que sin vacilar, sería necesario tirarlos!
Todo se devasta por las corrupciones
Todos los medios, todos los ámbitos, es una generalización
A fuerza de tolerar el intolerable
¡Las peores ignominias se volvieron tolerables!
Como el deporte hipnosis, y los nuevos juegos de circo
Fútbol y otras bombas a pasta
Como el cazador, generalmente fascista
Y que sobre la naturaleza forma un quiste
Todo es un extenso supermercado
Por sexo, deporte, política, del arte
El dinero puede hay
Hacer la política, del arte, del cine, del tele
¡Dónde es la conciencia que se hace rara!
Todo esto está de la etología animal y en consecuencia humana
La etología de fuego (1772-1844) Geoffroy Saint-Hilaire
Quién desde 1790, de esta acepción, hizo suyo
Pero en verdad, era en el aire
Y de las máquinas cada vez más sofisticadas
¡Quiénes no hacen, animales y humanos, más que imitarlos!
Y vamos a buscar bien lejos
Lo que se encuentra junto a en casa
Del otro que nos conviene
¡A la naturaleza desaparecida pero que se invita por todas partes!
La naturaleza, sí, pero bajo vidrio
La naturaleza, sí, fuera suelo, al museo, en invernadero
¡La naturaleza da miedo, qué horror!
No sabemos vivir
Incluso no en nuestros libros
Todo pasó a ser una propiedad privada
Planes de agua, pero prohíben bañarse
Prados, pero prohíben revolcarse
Y la gendarmería en caso de desnudez
Los pescadores en toda complicidad
Y es necesario siempre ocultarse
La naturaleza es una propiedad privada
Como en Francia y en otros lugares, vacaciones formateadas
Dónde especializárselo todo debe
Aquí para bañarse
Allí para pasear
Aquí para desnudarse
Allí para descansarse
Son los distintos guetos de la economía de mercado
Y sus propietarios que hacen las leyes
Ciudades y campañas son los reyes
Más nada de salvaje se canaliza todo
El mundo es una propiedad privada
¡Prohibición de vivir, coto vedado!
Patrice Faubert (2006 y 2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr” |
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