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Notícies :: globalització neoliberal
L'an zéro un
01 abr 2013
La propriété de l'aliénation est l'aliénation de la propriété...
Peccamineux n'est pas l'acte sexuel
Mais la morale a toujours des ailes
Incompétence et obsolescence
Sont une identique violence
Du fascisme de tous les jours
A tous les visages, fait sa cour
La médecine est une catin
La pharmacie est son soutien
Tout est vite fait, mal fait
A la louche, au forfait
C'est la gloire du méfait
Les gens ne savent plus travailler
Tout est si compliqué, dans le prêt à jeter !
Et même à la télévision
La catastrophe est affichée
Maintenant, que nos assiettes sont droguées
Par une alimentation industrialisée
Par une nourriture empoisonnée
Acceptée par une surpopulation
A la soumission alcoolisée
Du fascisme de la pauvreté industrialisée
Du fascisme toujours obèse, jamais complexé
Les hommes et les femmes se droguent
Les structures de l'aliénation se renforcent
Des maladies mentales, ce qui fait une force
Pauvres ou riches
Sont sur le même bateau
Qui, de toutes parts, prend l'eau
Certes, pas dans les mêmes couchettes
Certes, pas dans les mêmes couettes
Mais tout le monde s'en fiche !
C'est dit, c'est répété, c'est imité
Pour dans cette voie, toujours mieux continuer
Ainsi, même la domination
Se plaint des effets
Sans voir les causes, de la désolation
Comme en France, cinquante kilos de sucre mauvais
Par an et par personne, banalité de toute addiction
Le fascisme libéral
Se nourrit de toutes les pauvretés
Toutes les pauvretés
Sont les aliments du fascisme libéral
Industrialisation de la surpopulation
Surpopulation de l'industrialisation
Un jour, faire des enfants, sera interdit
Sauf, si petit à petit, s'effectue une consciente régulation !
Le capitalisme
C'est des scandales pleins les poches
Les gens
Trouvent cela très moche
Du moment que rien ne change
Faut pas que les capitaux, cela dérange !
Comme l'amiante qui n'est qu'une pierre
Mais pour cent mille personnes, c'est la mort, c'est l'enfer
Et tant pis pour le mésothéliome, ce cancer
Et de l'oxygène qui ne passe plus, privé d'air !
Dans une société où tout est profit
Elle ne vaut rien, la vie !
L'économie, c'est la guerre
Avec tous ses criminels
Tous aussi réactionnaires
Politiciens, ingénieurs, techniciens, industriels
Qui organisent les convois de la mort
Comme n'importe quel sport
De la torture économique, jamais on ne sort !
Le temps aliéné ne peut se rattraper
La catastrophe écologique ne peut se rattraper
Moi qui suis un fossile vivant
Des années 1970, déjà l'ancien temps
Le parloir informatique qui existe maintenant
Et je pus voir sur un écran
Arnaud et Capucine, jeunes amis
Me saluer avec chaleur, du Chili !
C'était chez Pierre, avec Jacques, deux bons amis
La résistance à l'ordre établi
De tous les âges, et qui s'affranchit !
Mais physiquement, plus l'on vieillit
Et plus les jeunes nous apparaissent jeunes
Même s'il s'agit du regard culturel
Qui n'est jamais naturel
Tout pourrait très bien
Se mélanger, sans des cultures, le frein
Les affinités peuvent
N'avoir aucun âge
Et les lois s'en émeuvent
Aussi, les rencontres sont mises en cage !
D'une catégorie à l'autre, comme la rage
Et au fond
Les idées sont là, pour nous séparer
Et au fond
La guerre, c'est la propriété
La propriété sexuelle
La propriété culturelle
La propriété artistique
La propriété idéologique
La propriété scientifique
La propriété religieuse
La propriété technologique
La propriété industrielle
La monogamie, c'est la guerre
Le livre, c'est la guerre
La peinture, c'est la guerre
Une idée, c'est la guerre
Une découverte, c'est la guerre
Une image pieuse, c'est la guerre
Un ordinateur, c'est la guerre
Une usine, c'est la guerre
Chaque être humain est en guerre
Sa chapelle, son clan, sa tribu, sa famille, sa classe
Où ce qu'il croit être sa race
Partout l'être humain
Pourrait être chez lui
Cela seul, n'est pas l'utopie
Partout l'être humain
Pourrait aller avec qui lui plaît
Toutes les femmes, tous les hommes, sans forfait
L'argent, c'est la guerre, tout serait donc gratuit !
L'être humain est à naître
Pour ne plus paraître, mais simplement être
L'extrême gauche du capital
Est ainsi indispensable au capital
Plus encore, c'est pas banal
Que l'extrême droite du capital
Le capital est un os
Tous ses chiens, sont aussi rosses !
Les vies aliénées par la politique
Sont la politique des vies aliénées
Tout se construit
Sur l'aliénation
Et nos cerveaux aussi !
Il nous faut être en déconstruction
Car, presque sur tout, nous nous trompons !
Aux certitudes et aux habitudes, nous nous droguons
Aux conformismes, nous militons
La politique, c'est toujours le capital
Qui est le capital de la politique
Avec toutes les fausses critiques
Qui sont au capital, sa clinique !
François Hollande (né en 1954), Marine Le Pen (née en1968), Cécile Duflot (née en 1975)
Jean-François Copé (né en 1964), Nadine Morano (née en 1963)
Ont des copies, dans tous les autres pays, avec ou sans fric
En vérité, c'est le même cirque
Du même restaurant, la même clique !
Qui veut être le chef?
Le doigt, celui qui ose lever
Est folie à enfermer
Est folie qui peut contaminer



Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien, ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur "hiway.fr"



Peccamineux no es el acto sexual
Pero la moral tiene siempre alas
Incompetencia y obsolescencia
Son una idéntica violencia
Del fascismo diario
A todas las caras, hace su tribunal
La medicina es un catin
La farmacia es su apoyo
Todo rápidamente se hace, mal hecho
A la cucharón, al delito
Es la gloria de la fechoría
La gente no sabe trabajar más
¡Todo es tan complicado, en el préstamo que debe lanzarse!
E incluso a la televisión
Se indica la catástrofe
Ahora, que se dopan nuestras bases
Por una alimentación industrializada
Por una comida envenenada
Aceptada por una superpoblación
A la oferta alcoholizada
Del fascismo de la pobreza industrializada
Del fascismo siempre obeso, nunca acomplejado
Los hombres y las mujeres se dopan
Las estructuras de la enajenación se refuerzan
Enfermedades mentales, lo que hace una fuerza
Pobres o ricos
Están en el mismo barco
Quién, de todas las partes, toma el agua
Cierta, no en las mismas camas
Cierta, no en los mismos edredones
¡Pero todo el mundo se fija!
Esto se dice, se repite esto, se imita esto
Para en esta vía, siempre para seguir mejor
Así pues, incluso la soberanía
Se compadece de los efectos
Sin ver las causas, de la desolación
Como en Francia, cincuenta kilos de azúcar malo
Al año y por persona, trivialidad de todo addiction
El fascismo liberal
Se alimenta con todas las pobrezas
Todas las pobrezas
Son los alimentos del fascismo liberal
Industrialización de la superpoblación
Superpoblación de la industrialización
Un día, hacer niños, estará prohibida
¡Excepto, si poco a poco, se efectúa un consciente reglamento!
El capitalismo
Es escándalos plenos los bolsillos
La gente
Encuentran eso muy feo
Puesto que no cambia nada
¡No es necesario que los capitales, eso molestan!
Como el amianto que no es más que una piedra
Pero para - ciento mil de personas, es la muerte, es el infierno
Y tanto peor para el mesotelioma, este cáncer
¡Y de oxígeno que no pasa ya, privado aire!
En una sociedad donde todo es beneficio
¡No vale nada, la vida!
La economía, es la guerra
Con todos sus criminales
Igualmente reaccionarios
Políticos, ingenieros, técnicos, industriales
Quiénes organizan los convoyes de la muerte
Como cualquier deporte
¡De la tortura económica, nunca no se sale!
El tiempo enajenado no puede recuperarse
La catástrofe ecológica no puede recuperarse
Mí que es un fósil vivo
Años setenta, ya el antiguo tiempo
El locutorio informático que existe ahora
Y yo pus ver sobre una pantalla
Arnaud y Capucine, jóvenes amigos
¡ME saludar con calor, de Chile!
Era en Pierre, con Jacques, dos buenos amigos
La resistencia al orden establecido
¡Por todas las edades, y que se libera!
Pero física, más se envejece
Y más los jóvenes nos parecen jóvenes
Incluso si se trata de la mirada cultural
Quién no es nunca natural
Todo podría bien muy
Mezclarse, sin culturas, el freno
Las afinidades pueden
No tener ninguna edad
Y las leyes mover
¡Por ello, ponen los encuentros en jaula!
De una categoría, como lo rabia
Y básicamente
Las ideas están allí, para separarnos
Y básicamente
La guerra, es la propiedad
La propiedad sexual
La propiedad cultural
La propiedad artística
La propiedad ideológica
La propiedad científica
La propiedad religiosa
La propiedad tecnológica
La propiedad industrial
La monogamia, es la guerra
El libro, es la guerra
La pintura, es la guerra
Una idea, es la guerra
Un descubrimiento, es la guerra
Una imagen piadosa, es la guerra
Un ordenador, es la guerra
Una fábrica, es la guerra
Cada ser humano está en guerra
Su capilla, su clan, su tribu, su familia, su clase
Dónde lo que cree ser su raza
Por todas partes el ser humano
Podría ser en él
Solo eso, no es la utopía
Por todas partes el ser humano
Podría ir con que le agrada
Todas las mujeres, todos los hombres, sin delito
¡El dinero, es la guerra, todo sería pues gratuito!
El ser humano debe nacerse
Ya no parecer, pero simplemente ser
La extrema izquierda del capital
Es así indispensable para el capital
Más aún, no es banal
Que la extrema derecha del capital
El capital es un hueso
¡Todos sus perros, son también vapulean!
Las vidas enajenadas por la política
Son la política de las vidas enajenadas
Todo se construye
Sobre la enajenación
¡Y nuestros cerebros también!
Debemos sernos en déconstruction
¡Ya que, casi con todo, nos equivocamos!
A las certezas y a las prácticas, nos dopamos
A los conformismos, militamos
La política, es el capital todavía
Quién es el capital de la política
Con todas las falsas críticas
¡Quiénes están al capital, su clínica!
François Hollande (nacido en 1954), Marine Le Pen (nacida en1968), Cécile Duflot (nacida en 1975)
Jean-François Copé (nacido en 1964), Nadine Morano (nacida en 1963)
Tienen copias, en todos los demás países, con o sin pasta
En verdad, es el mismo circo
¡Del mismo restaurante, la misma pulsa!
¿Quién quiere ser el jefe?
El dedo, el que se atreve a aumentar
Es locura que debe encerrarse
Es locura que puede contaminar




Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien, (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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Comentaris

Re: L'an zéro un
01 abr 2013
Ni partits polítics ni pedants!
Sindicat Terrassa