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Notícies :: corrupció i poder |
Alerta: Delincuente racista Aydée Nava viaja a Quito
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per raco Correu-e: raco666@hotmail.com (no verificat!) |
11 jul 2008
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La tristemente célebre alcaldesa de Sucre (Bolivia) que mandó apalear a indios en la plaza pnincipal de su juridicción, viajará a Quito para "hermanar" ambas ciudades. vean youtube:racismo en Sucre. Quito jamás se hermanará con racistas anti-indios. |
Sucre y Quito hermanadas para celebrar Bicentenario del Grito de Libertad en América. Las ciudades capitales de Bolivia y Ecuador se hermanarán para celebrar el Grito de Libertad lanzado en América el año 1809. Las autoridades ediles de Sucre y Quito planean un acercamiento auspiciado por organismos multilaterales y el Comité Nacional del Bicentenario de Bolivia.
Sucre – Bolivia, proyecta obras de mejoramiento e infraestructura urbana, asà como de eventos y otras acciones enmarcadas en los preparativos del Bicentenario del 25 de mayo de 1809, mientras que Quito – Ecuador celebrará similar conmemoración para agosto del año 2009. La Alcaldesa de Sucre, Aydeé Nava tiene previsto su viaje a la capital quiteña, una vez se afinen detalles de la suscripción del hermanamiento previsto para febrero del presente año. Ambas ciudades fueron beneficiadas con el pensamiento de libertad gestado en la universidad San Francisco Xavier de Chuquisaca en tiempos coloniales. *Vicepresidencia de la República analiza el proyecto Manzano Histórico.
La restauración del Centro Histórico de Sucre es analizado por la Vicepresidencia de la República, una vez que la representación, en Bolivia de la Naciones Unidas requiere el aval del Gobierno Boliviano, informó la Dirección Ejecutiva del Comité Nacional del Bicentenario. El vicepresidente, Ã?lvaro GarcÃa Linera es el presidente del Comité Nacional del Bicentenario, instancia que prepara la celebración de los 200 años del Primer Grito de Libertad Lanzado en América. La restauración del centro histórico declarado por la UNESCO patrimonio cultural de la humanidad, es el emprendimiento más importante que planea la ciudad de Sucre para conmemorar el bicentenario del 25 de mayo de 1809. La puesta en valor del conjunto urbano monumental y el mejor conservado en Bolivia podrÃa ser viable a partir de la restauración del "Manzano Histórico" o "Manzano de la Libertad" que comprende la Casa de la Libertad, la AlcaldÃa y la Universidad de San Francisco Xavier |
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Re: Alerta: Delincuente racista Aydée Nava viaja a Quito
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per ittp |
12 jul 2008
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Institut de Thérapie et de recherche sur les Séquelles de la Torture et de la Violence d’Etat.
Déclaration et appel national et international de l’ITEI
Le retour du refoulé
Racisme colonial à Sucre, capitale historique de la Bolivie
Le 18 décembre 2005, l’élection démocratique de l’indien Aymara Evo Morales
Ayma en tant que Président de la République de Bolivie, a provoqué un choc de grande
envergure pour les secteurs privilégiés les plus rétrogrades. Le racisme latent de toute
une société au passé colonial et discriminatoire a été du coup interpellé, une société qui
n’a jamais fait un travail de réflexion sur sa responsabilité coloniale et criminelle
marquée par l'ethnocide et le génocide.
Le 24 mai, jour où Sucre fêtait le 199ème anniversaire de l’un des premiers cris
de rébellion des Amériques, plus de 30 paysans ont été obligés de se dénuder le torse,
de marcher jusqu’à la Place “25 mai� en face de la Maison de la Liberté. Là , on les a
forcés à se mettre à genoux et à demander pardon. Après avoir vu brûler leurs ponchos,
ils ont subi diverses formes de tortures physiques, ont été roués de coups de bâtons et
piétinés, et profondément humiliés par des insultes telles que, “indiens de merde, criez
vive la capitale Sucre�, “Que les lamas demandent pardon�; ils ont dû entendre:
“Sucre debout, Evo à genoux�, “il faut tuer cet indien�. Un des représentants des
paysans autochtones, �ngel Vallejo, maire de la localité de Mojocoya, a été traîné sur
plusieurs kilomètres par ses ravisseurs déchaînés. Les whipalas1 et les bannières du parti
politique du MAS2 ont été brûlées et les paysans ont été obligés de porter le drapeau de
Chuquisaca3. Il y a eu 50 blessés ce jour- là .
Les vieilles pratiques coloniales consistant à humilier et à soumettre “l’Indien
sauvage et inculte� sont réapparues dans toute leur brutalité, expression
symptomatique du fait que 199 ans de “Vie Républicaine� n’ont pas suffi à se libérer du
racisme et de la discrimination coloniale. En outre, ces évènements démontrent que les
méthodes classiques de torture physique et psychique utilisées auparavant pour détruire
la résistance autochtone n’ont pas été oubliées. L’humiliation publique, imposée et
soutenue par une partie de la population de Sucre et subie par plus de 30 paysans, va
laisser des traces psychosociales importantes chez les personnes affectées. Le racisme,
dans le monde entier, consiste à considérer l’autre comme un être inférieur. Il a toujours
servi de base idéologique pour justifier les mauvais traitements, la torture et l’assassinat.
1 Symbole des Nations Originaires
2 Parti du Président Evo Morales
3 Département de la capitale de Sucre
Av. Arce 2105, Edif. Venus, 4to Piso, Dpto. 4B · Casilla 8185 · Tel. +591 2 2440203 · Fax +591 2 2154094 ·e-mail:
administración@itei. |
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