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el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
el no en francía ha ganado
El no a la constitución ha ganado en Francía (56%)y eso que han acudido a votar en masa (70%, todo un record para ese tipo de consulta).
Por fin la cosa se pone interesante....

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Comentaris

ENCUESTAS: NO está entre el 55 y 56%
29 mai 2005
¡Cuidado! Son encuestas... Pero parece que el NON ganó

A ver que coño se inventan ahora para sacar la constitución adelante... Giscard ya dijo ayer que había que repetir las elecciones.

VIVE LA FRANCE!

(joder, perdón por el patrioterismo, pero me emociono)
Re: el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
Los primeros sondeos dan la victoria al 'no' en Francia


EL PAIS - Internacional - 29-05-2005    

Tal y como se temía, Francia ha dicho no a la Constitución europea, según los primeros sondeos, realizados en París y que otorgan a esta opción entre el 54,5% y el 55,6% de los votos. El sí ha sido apoyado por el 45% de los franceses con derecho a voto. Esta victoria se produce en una jornada marcada por la alta participación, cercana el 70%. Este resultado abre una crisis sin precedentes en la Unión Europea y va a hacer tambalear la presidencia de Jacques Chirac, quien convocó hace tres meses el referéndum con la certeza de la victoria, y su primer ministro, Jean-Pierre Raffarin.

Los sondeos a pie de urna, dados a conocer por la televisión pública tras el cierre de los últimos colegios electorales en París y Lyón a las 22.00. Aunque no hay todavía resultados oficiales, los provisionales suponen una bofetada para Chirac y el gobierno de derecha.

La participación en el referéndum ha alcanzado el 70%. Los colegios han cerrado a las 20.00 salvo en París y Lyón. Un sondeo difundido horas antes en Suiza ya anunció que el 56% había rechazado el Tratado. Esta victoria tiene aún más contundencia por haberse producido con una participación que supera la registrada sobre el tratado de Maastricht en 1992.

En los territorios de ultramar, como Martinica, Guadalupe o Guyana, que comenzaron a votar ayer por la diferencia horaria, la participación ha sido menor del 30%.

Repercusión en Francia y en la UE

A última hora de esta noche se dispondrá del escrutinio oficial y está prevista una comparecencia de Chirac. Los sondeos divulgados en la última semana daban al no ganador, aunque el sí repuntaba ligeramente en dos encuestas realizadas el jueves y el viernes. La encuesta más reciente, publicada ayer por La Tribune de Genève, reflejaba la remontada del sí hasta un 48%, aunque todavía perdedor frente al 52% del no.

Chirac y su mujer, Bernardette, votaron a las 11.00 en Sarran, localidad situada en Correze (centro del país). Ninguno de los dos ha hecho declaraciones a los numerosos periodistas que les esperaban. Poco más tarde el jefe de la oposición, el socialista Francois Hollande, que también ha hecho campaña por el sí, ha depositado su papeleta en Tulle, donde es alcalde. Diez minutos antes del mediodía, el número dos socialista y uno de los principales abanderados de la izquierda por el no, Laurent Fabius, depositó su papeleta en la localidad de Grand-Quevilly.

Toda Europa está pendiente del veredicto de las urnas, ya que un rechazo francés sería fatal para el primer Tratado constitucional europeo elaborado para facilitar a partir de 2007 el funcionamiento de una Unión Europea (UE) de 27 países.
Según los sondeos el NO ganado en Francía con un 55 %
29 mai 2005
Seguimiento referéndum de ratificación de la Constitución europea. Francia - 29M / '05 El 55 % de los franceses/sas dicen NO a la Constitución a la Europa del capital y la guerra (según sondeos) frente a un 45 % deL SI y una abstención del 30% ++ Seguimiento y enlaces con los resultados "on line" >> +++ info on line kaosenlared >>>> LE MONDE u référendum l'aurait emporté par 54,5 % des voix, selon une estimation TNS Sofres. Le oui recueillerait 45,5 % des voix. Le taux d'abstention serait, selon cet institut, de 29,5 %. LIBERATION Un non écrasant Avec 56% de votes non (CSA), les électeurs français, massivement mobilisés, ont rejeté le traité établissant une Constitution européenne • Le désaveu est cinglant pour Jacques Chirac, une partie du PS et l'Europe des 25 jugée trop libérale • Par Ludovic BLECHER 29 mai 2005 (Liberation.fr - 22:00) 'est un non clair, franc et massif. Selon le CSA, les Français ont rejeté à une large majorité le traité instituant une constitution européenne: 55,6% des électeurs se sont prononcés contre le texte et seulement 44,4% ont voté pour ce dimanche. Alors que les derniers sondages de jeudi et vendredi marquaient un timide retour du oui, c'est une douche très froide, pour tous les ouiouistes qui tablaient sur un sursaut après la dernière intervention, jeudi, du chef de l'Etat. Le non, qui caracolait en tête des sondages depuis trois semaines (il oscillait entre 52 et 53% sur les sept derniers jours, NDLR) l'a donc franchement emporté. Bafouant les règles d'usage, le courant minoritaire NPS du Parti socialiste a même annoncé la victoire du non dans un communiqué publié dimanche une demi-heure avant la fin du vote. Et dans tous les quartiers généraux des partisans du non, des acclamations de joie retentissaient dès 21h50, tant chez les militants du MPF de Philippe de Villiers qu'au Parti communiste et chez les militants socialistes partisans du non, proches d'Henri Emmanuelli. Mobilisation massive Pour ce vote, les électeurs se sont déplacés massivement. Le taux de particiption est important: 69,7%, selon le CSA, soit un chiffre quasiment identique à celui du référendum de Maastricht en septembre 1992. C'est quand même mieux, bien mieux, que pour les élections européennes du 13 juin 2004, où 42,76% des inscrits s'étaient rendus aux urnes. Les 41,8 millions d'électeurs se sont aussi beaucoup plus mobilisés que pour les élections régionales de 2004: 60,84% s'étaient alors déplacés. A l'élection présidentielle de 2002, la participation finale avait été de 71,6% au premier tour et 79,71 au second. Dès ce dimanche à midi, la tendance était à la hausse était à l'image de la vigueur des débats. On enregistrait un taux de participation de 25,08%, contre 20,39% en 1992. Par rapport à ce scrutin, la participation était en hausse dans 83 départements métropolitains sur 95. Cette augmentation était supérieure à 10 points dans 7 départements, la palme revenant aux Pyrénées-Orientales (+16,71) et à la Somme (+13,58), et comprise entre 5 et 10 points dans 37 autres. 20 départements avaient déjà voté à plus de 30% à midi et 33 entre 25 et 30%. Le département où l'on avait le plus voté était le Gers (35,97%) tandis que le Val-de-Marne enregistrait la participation la plus faible (16,10%). Hypothèses Reste maintenant à voir quelles vont être les conséquences, en France, d'un scrutin qui ébranle une bonne partie de la classe politique, gouvernement en tête. L'éxécutif devra répondra à ce vote sanction mais surtout aux préoccupations sociales exprimées durant la campagne et consacrées par ce résultat sans ambage. Pour Jacques Chirac, le désaveu est total et il devra l'assumer devant ses partenaires européens. Pour le Premier ministre, c'est peut-être le signe du départ. «Quelques soient les hypothèses, les scénarios, les décisions sont prêtes muries, rêfléchies en loyauté avec le chef de l'Etat», a affirmé dimanche Jean-Pierre Raffarin dimanche après avoir voté dans son fief de Chasseneuil-du-Poitou. Plusieurs noms circulent: Dominique de Villepin est donné favori, devant la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie. A moins que Nicolas Sarkozy ne devienne l'ultime recours pour donner la «nouvelle impulsion» promise jeudi par Jacques Chirac. Au PS, aussi, la crise annoncée pourrait éclater. Certains évoquent même un parti au bord de la rupture, le choix des militants et celui du Premier secrétaire, François Hollande (pour le oui), ayant été désavoué. Laurent Fabius, le chef de file du non au PS, apparaît comme le grand gagnant de se scrutin qui le place en bonne position dans la course à la candidature pour 2006. LE FIGARO Le PS traverserait de graves turbulences Le non historique du 29 mai Les électeurs ont tranché : selon les première estimations, près de 55% d'entre eux ont dit non au Traité constitutionnel européen lors de ce référendum qui a largement mobilisé les Français. Le chiffre de participation atteint des records à près de 70%, largement plus que pour le précédent référendum européen sur le Traité de Maastricht. Ce non massif résonne comme un coup de tonnerre au-dessus du paysage politique français, dont les principaux courants s'étaient engagés pour le oui. Avant les premières réactions, voici un aperçu de la possible nouvelle donne sur l'échiquier politique. Nicolas Barotte et Philippe Goulliaud [29 mai 2005] La victoire du non est un coup de tonnerre dans le paysage politique, avec deux victimes principales, Jacques Chirac et François Hollande, et un grand gagnant, Laurent Fabius, qui a apporté sa respectabilité et sa crédibilité d'ancien premier ministre à la victoire du non. Chirac, le premier battu Jacques Chirac sortirait personnellement affaibli, tant sur la scène européenne et internationale, que sur le plan intérieur. Alors que son prédécesseur socialiste François Mitterrand avait gagné son référendum sur Maastricht en 1992, le président de la République perdrait son pari européen. Comme il avait perdu, en 1997, celui de la dissolution. Parvenu au dixième anniversaire de son arrivée au pouvoir, Chirac devrait alors trouver la pierre philosophale pour sauver la fin de son mandat. Mais dans sa partie de bras de fer avec Nicolas Sarkozy, il verrait diminuer ses chances de pouvoir se représenter en 2007. Raffarin à l'heure du départ Les temps seront difficiles aussi pour Jean-Pierre Raffarin. Le remplacement du premier ministre paraît acquis. Il devrait être très rapide en cas de victoire du non. Raffarin, qui avait rêvé de quitter Matignon en beauté, serait contraint de partir sur un échec. Au plus bas dans les sondages, il aura du mal à valoriser le bilan de ses trois années à la tête du gouvernement. Et devra penser à réorienter sa carrière politique, avec en perspective la présidence du Sénat. Sarkozy poursuit sa route vers l'Elysée Nicolas Sarkozy ne serait pas le premier atteint par la victoire du non. Le président de l'UMP pourrait faire valoir que son électorat est resté très largement acquis au oui et que c'est à gauche, notamment au PS, que les voix ont fait défaut. En outre, l'affaiblissement de Chirac dégagerait son horizon pour 2007. Mais les chiraquiens lui reprocheraient d'avoir mené campagne pour lui-même et pas pour la Constitution européenne. La possible nomination à Matignon de Dominique de Villepin sonnerait vraisemblablement le déclenchement des hostilités. Sarkozy pourrait espérer enrôler dans son camp les exclus du gouvernement et des parlementaires peu à l'aise avec Villepin, qui n'est pas un élu. Le président de l'UMP verrait alors se dresser sur la route de l'Elysée un rival potentiel. Bayrou l'avait bien dit François Bayrou a déjà fait ressortir ses prédictions pessimistes de décembre dernier, quand, «seul au milieu de l'euphorie générale», il qualifiait de «très inquiétants» les 41% obtenus par le non au référendum interne du PS. Avant même de connaître le résultat du référendum, il a aussi pointé les erreurs de campagne des autres partisans du oui, Chirac et Sarkozy en tête. Et il est tout prêt, le cas échéant, à «tendre la main» aux socialistes orphelins du oui. Le Pen et Villiers, victorieux et rivaux Jean-Marie Le Pen aurait de quoi pavoiser. Le président du Front national est depuis toujours un adversaire de la Constitution. Et la défaite de Jacques Chirac, son adversaire du second tour de la présidentielle de 2002, ne pourrait que le réjouir. Le Pen, qui s'est montré relativement discret pendant la campagne, espère toujours être candidat en 2007. Mais il devra déjouer les querelles internes autour de sa succession. A la droite de la droite, le souverainiste Philippe de Villiers se poserait en principal artisan d'une victoire du non. Avec son aplomb et son talent oratoire, il a largement occupé le terrain que Charles Pasqua a abandonné. Et il peut espérer récupérer une part de l'héritage de Le Pen. Mais à l'UMP, on ne lui pardonnera pas son rôle dans la défaite du oui. Le triomphe de Fabius Laurent Fabius serait le premier bénéficiaire d'une victoire du non. Seul présidentiable à gauche dans ce camp, il verrait l'hypothèse de sa candidature en 2007 indéniablement renforcée. Mais le chemin jusqu'à l'investiture resterait semé d'embûches : ses rivaux socialistes ne lui laisseront pas le champ libre facilement ; les militants PS, qui doivent désigner le candidat pour la présidentielle et qui avaient choisi le oui lors du référendum interne, lui en veulent de ne pas avoir respecté leur vote ; le camp du non est d'une grande hétérogénéité. Même si l'extrême gauche a en ce moment des mots inhabituellement doux pour Fabius, elle n'est pas prête à se ranger sous sa bannière. Pour prolonger sa victoire éventuelle, Fabius devra donc convaincre une partie des partisans du oui de le suivre. Hollande sur la sellette François Hollande, partisan du oui, serait à l'inverse la première victime à gauche. Conscient du danger, il a pris les devants jeudi, en prévenant que cette consultation n'est pas «un référendum pour ou contre le premier secrétaire». En clair, il n'entend pas démissionner si le non l'emporte. Mais à la tête d'un PS désavoué par les électeurs de gauche, il serait néanmoins contraint de remettre en jeu son poste à l'occasion d'un congrès, probablement avancé avant la fin de l'année. Par la même occasion, les militants socialistes seraient amenés à confirmer ou non la ligne «réformiste» qu'il incarne et qui ne semble pas compatible avec le non. Le Parti socialiste, en pleine hésitation idéologique, serait affaibli. Toutes ces turbulences compromettraient fortement les ambitions présidentielles de Hollande. La gauche radicale à la manoeuvre Le Parti communiste et l'extrême gauche seraient aussi les grands bénéficiaires du non. Les communistes, marginalisés électoralement, retrouveraient une crédibilité. Le secrétaire national Marie-George Buffet rêve de voir le PC au point d'équilibre de la gauche radicale. De la Ligue communiste révolutionnaire d'Olivier Besancenot à Attac, l'extrême gauche se réjouirait d'une victoire du non qu'elle présenterait comme une défaite du libéralisme. Mais la cohérence de ces non qui se situent à la gauche du PS reste à construire. Les estrades communes des dernières semaines ne peuvent pas effacer des décennies de divergences idéologiques et stratégiques.
Re: el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
Acaben de d'anunciar en la tv3, en el partit de futbol amb lletres que ha guanyat el NO amb 55% dels vots.
Seguimiento referéndum de ratificación de la Constitución europea. Francia - 29M / '05
29 mai 2005
portadajk8002.jpg
SONDEOS

IPSOS, France2, Europa1, Le Figaro: 55 % NO -- 45 % SI -- Abs. 30%
Liberation agencia CSA: 56 % NO -- 44,5 % SI -- Abs. 30%
Le monde TNS Sofres: 54,5 % NO -- 45,5 % SI -- Abs. 29,5
Mira també:
http://www.esfazil.com/kaos/noticia.php?id_noticia=9939
Re: el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
Los dirigentes del PSF reconocen la derrota TV5 France!!

LA EUROPA DEL CAPITAL Y LA GUERRA TIENE PROBLEMAS!!
Re: el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
Els nostres veïns/es de dalt han espatllat la festa als qui van imposar aquesta Constitució d'esquenes al Parlament i al poble, en un procediment totalment antidemocràtic. Es mereixien una bona gerra d'aigua freda com aquesta. Una demostració pràctica de democràcia popular: "Que n'aprenguin!"

Segurament es negaran a acceptar-ho. Però un cop més s'han posat en evidència. Vive la France!
Re: el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
buoeno..bueno..bueno..que nos van a decir ahora los listillos de turno.. que los franceses son unos incultos?, o que les ha vencido el miedo?, que han castigado a chirac?... y que hay del informe Bolkestein?,,, no ha tenido nada que ver ,cvlaro,
y le pen es el que ha decantado el resultado, no?
pues no, ha sido la brillante campaña de Attac, que les ha pasado la mano por la cara a los partidos tradicionales... con la contribución de miles de militantes de base socialistas, por cierto.
BASTA YA DE VENDERNOS AL CAPITALISMO SALVAJE...BASTA DE MENTIRAS...
Eesta constitucion era un engendro de extrema derecha , ultraliberal, ambiguo en los derechos y claro como el agua en la destruccion del estado social, antidemocratico en su estructura de aprobacion y de aplicacion,etcv... vamos un desastre que nos han querido vender como una maravilla.
asi que ahora se agradecerian unas cuantas dimisiones en Francia y una profunda reflexión en el resto.. alguien cree en serio que se puede construir un aeuroppa unida para el pueblo europeo pero sin el pueblo?
hoy es un dia historico para los ciudadanos de Europa, en el que los que realmente han hecho un debate serio y amplio (no como aqui en españa. por cierto) han concluido que esto no hay por donde cogerlo,
a ver si ahora va a resultar que nuestros representantes politicos pretenderan aprobar la nueva contitucion como si no hubiera pasado nada en francia..

atentos, y a retomar el debate por aqui tambien..basta de desinformacion televisiva y de mentiras arriesgadas,,, y por supuesto vive le france
me voy a por el champan... o el cava es igual
Re: el no ha ganado en Francía
29 mai 2005
allons enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé...
sans-culottes-->
29 mai 2005
Els sans-culottes eren sobretot petits artesans, botiguers i treballadors de les ciutats. Els seus ingressos eren modestos i, per això, eren molt sensibles als problemes derivats de la puja de preus. Protragonistes dels aldarulls urbans, no tenien dret a votar i esperaven de la revolució no tant sols la igualtat legal, sinó tambè la igualtat de les fortunes. Freqüentaven els clubs i les societats populars i desprès de la revolta del 10 d´Agost de 1792 van esdevenir els més ferms defensors de la radicalització de la revolució francesa.
Le jour de la gloire...

" Peticions dirigides pels sans-culottes d´una secció de París a la Convenció el setembre del 1793 "

1) Que el nobles no puguin exercir cap funció militar ni posseir cap col.locació pública.

2) Que tots els productes de primera necessitat siguin fixats amb un preu invariable.

3) QUE ELS PREUS DE LES PRIMERES MATERIES TAMBE SIGUIN FIXATS DE MANERA QUE ELS GUANYS DE L´INSDUSTRIA I DEL COMERÇ, ELS CUALS SERAN REGULATS PER LA LLEI, CONDUEIXIN L´HOME INDUSTRIOS, COMERCIANT O CONREADOR NO NOMES A GARANTIRLI LES COSES INDISPENSABLE QUE LI ASSEGURIN L´EXSISTENCIA, SINO TAMBE TOT ALLO QUE PUGUI AUGMENTAR-LI EL GAUDI.

4) Que es fixi un MAXIM A LES FORTUNES.

5) Que un individu nomès pugui posseir un màxim.

6) Que ningú pugui tenir per llogar MES TERRES DE LES QUE NECESITA per una quantitat d´arades determinada.

7) Que un mateix ciudadà només pugui tenir un taller o una botiga.

França ha cambiat, però les seves escoles encara ensenyen això al jovent...
Re: el no ha ganado en Francía
31 mai 2005
No lo puedo creer! Finalmente el pueblo alza la voz ante el imperio fascista del libre mercado! el pueblo francés ha sido hoy el que se ha puesto en pie de lucha, pero somos muchos otros pueblos quienes no soportamos ya la doble moral de un imperio asesino y ciego de avaricia... Sabemos bien que Europa es batión del imperio también, y que el hecho de que desde ahí mismo se este intentando parar esta masacre a los derechos más fundamentales del hombre, es por demás irónico pero revelador... Nos enseña a los que no vivimos allí que ni siquiera ellos (el pueblo europeo) son gozadores totales del supuesto estado de bienestar del desarrollo, y que muy por el contrario, están muy conscientes del doble discurso de una clase política y empresarial (que son lo mismo) ruín y retrógada que sólo obedece a intereses creados por ella y sus tres socios, y que cree que todavía vive en la monarquía donde todos sus vasallos (o sea, el mundo!) están obligados a servirle... Ya basta! dijeron los franceces esta vez, ya basta! debe de ser el grito generalizado de un mundo que no puede perder la fe en el hombre y en su capacidad de creación... Para crear hay que romper esta claro, y cada día se hace más evidente, aunque a muchos no les guste, que OTRO MUNDO ES POSIBLE!!!!!!!!!!!!!!
Sindicato Sindicat